zero dechet bocal vrac 5R
Lifestyle

5 règles indispensables pour débuter le zéro déchet

La première fois que j’ai entendu parler de zéro déchet, comme son nom l’indique, je pensais qu’il suffisait d’acheter en vrac pour dire bye bye aux vilains déchets ! Mais enfaite non, c’est bien plus que ça… C’est carrément de nouvelles habitudes de consommation et un style de vie à adopter.

En m’y intéressant de plus près, j’ai appris que pour adopter ce mode de vie, il y avait une méthode : les 5R popularisées par Béa Johnson dans son livre Zéro déchet.

Les connaître m’a permis de comprendre la philosophie du zéro déchet et son fonctionnement. Puis, dans la pratique, elles m’ont aidé à réduire naturellement mes déchets, et ce de manière très méthodique. Car j’avoue, au début j’étais complètement paumée, ne sachant pas par où commencer, ni comment faire… Alors ces 5 règles m’ont beaucoup guidé à mes débuts et m’aident toujours aujourd’hui dans cette incroyable aventure qu’est le zéro déchet.

Dans cet article je vous explique tout sur la règle des 5R en vous synthétisant l’essentiel du chapitre du livre de Béa Johnson dédié au 5R. Vous aurez ainsi des pistes pour débuter le zéro déchet sur de bonnes bases !

zero dechet bocal vrac cuisine sac reutilisable femme

« Qui veut déplacer une montagne, commence par déplacer de petites pierres. »

Confucius, philosophe chinois

Les 5R du zéro déchet, kesako ?

Les « 5R » de Béa Johnson représentent les différentes étapes pour gérer ses déchets et si on veut réduire ses déchet de manière naturelle et sans trop de prise de tête, elles doivent être suivis dans un ordre bien précis :

1. Refuser
2. Réduire
3. Réutiliser
4. Recycler
5. Composter (Rot en anglais)

Refuser et Réduire concernent la prévention des déchets.
Réutiliser concerne la consommation responsable.
Recycler et Composter concernent le traitement des déchets.

Tout ce qui ne peut pas se Refuser, se Réduire, se Recycler, ou se Composter fini, devinez où ? Bingo à la poubelle ! C’est pourquoi l’étape Refuser est primordiale, car elle permet en amont d’éviter de faire entrer des futurs déchets dans son foyer. Nous allons voir comment dans le chapitre suivant.

« Le meilleur déchet est celui qu’on ne produit pas »

1. Refuser

C’est l’étape la plus simple et mais aussi la plus difficile socialement. Simple, car s’il est facile de refuser un flyer qui ne nous intéresse pas. En revanche, ça devient plus difficile de refuser un échantillon de parfum qui nous plaît. Accepter des objets superflus est une forme de consommation indirecte et le zéro déchet vise à éviter que ceux-ci ne s’insinuent dans notre vie. Voici quelques pistes pour Refuser :

Les articles à usage unique

Saviez-vous que la durée de vie de ces articles est d’en moyenne 30 secondes ? Et si on évitait de gaspiller des ressources et de l’énergie avec juste un peu… d’anticipation ? On peut par exemple, demander au serveur un cocktail sans paille, refuser les couverts en plastique quand on sort déjeuner (en ayant toujours un set de couverts sur soi), ou encore demander son café dans une tasse au lieu d’un gobelet (ils le proposent chez Starbucks en plus et si vous voulez à emporter, ils vous remplissent même votre travel mug !)

Les cadeaux gratuits

Il s’agit par exemple d’articles de chambre d’hôtel, des échantillons alimentaires ou de cosmétiques en magasins, des cadeaux promotionnels présentés dans les foires, le fameux stylo offert lors d’une conférence ou encore le calendrier trop kitsch avec les chatons tout mignon (j’avoue celui-là, dur de faire une croix dessus).
Mais ces articles, on en n’a pas réellement besoin et une fois chez nous, ils nous encombrent plus qu’autre chose. Bon, au début, c’est pas facile de les refuser, mais avec un peu de volonté et de pratique on y arrive 🙂

Les pub & compagnie

Ces produits non plus ne durent pas dans le temps, on les prend par automatisme, puis la seconde suivante, on les jette à la poubelle. C’est une source de gaspillage astronomique. Selon le livre Zéro Déchet, c’est « 10 milliards d’imprimés publicitaires produit chaque années en France ». On peut y remédier en mettant par exemple, un stop pub sur sa boîte aux lettres, en refusant les flyers ou autre tractes (les prendre en photos si cela nous intéresse vraiment). Idem pour les cartes de visite (on enregistre directement les coordonnées de la personne dans son téléphone) et pour ce qui est du ticket de caisse, certaines enseignes proposent de l’envoyer par mail, sinon vérifier simplement le montant.

Vous vous dites, mais à quoi bon les refuser, les articles sont déjà là ! Oui mais, si on est de plus en plus nombreux à les Refuser, cela stimulera la demande et obligera les commerçants à envisager d’autres solutions. Refuser, c’est dire « non, votre article ne m’intéresse pas, je n’en veux pas ».

 » Quand on se rend compte que rien ne manque, le monde entier vous appartient « 

Lao Tseu, sage chinois

2. Réduire

L’idée ici c’est de réduire sa consommation pour simplifier son quotidien. On va remettre en question chaque achat en se demandant si l’objet qu’on souhaite acquérir est vraiment utile. On aussi va préférer la qualité (réparable) à la quantité (jetable) et les expériences aux biens matériels. Voici quelques idées pour vous aider à Réduire :

Faire le vide dans son intérieur

On va déterminer l’utilité de chaque objets de sa maison et se débarrasser de ce qui n’est pas nécessaire. Pour ce faire, on prend chaque objet et on se pose la question de si on en a vraiment besoin et si on l’utilise souvent. L’astuce, c’est de procéder pièce par pièce. Pour ma part, le dressing a été un véritable chantier. J’ai viré pleins de fringues et notamment des sacs à main. Certains avaient même encore l’étiquette… Je les ai donné ou revendu sur des sites de vente d’occasion (Merci Vinted). Maintenant je réfléchis à deux fois avant d’acheter et ça me permet d’éviter d’accumuler des choses inutiles, de passer du temps à les nettoyer et à les stocker.

Réduire sa consommation

Pour Réduire, il est indispensable de remettre en question sa consommation actuelle et future en prenant en compte leur cycle de vie (privilégier les produits réutilisables ou recyclables). On peut aussi par exemple acheter en vrac pour réduire les produits emballés, essayer le batchcooking pour maîtriser les quantités d’aliments et éviter le gaspillage, utiliser plus souvent le vélo à la place de la voiture, réduire ses abonnements (téléphone, Prime, salle de sport). Et pour les plus téméraires, on peut même aller jusqu’à réduire la taille de son habitation !

Éviter les activités qui soutiennent ou amènent à la consommation

Ici on va éviter tout ce qui nous pousseraient à des achats compulsifs et donc non essentiels. Pour ce faire, on réduit son exposition aux médias (magazines, télé, réseaux sociaux), les soldes, les promos. Donc on dit « ciao » à la promo des 10 pots de Nutella et on préserve sa santé et l’environnement par la même occasion.

Déterminer ce qui est essentiel à ses yeux, en réfléchissant à ses besoins, en fonction de sa situation familiale, financière et l’endroit où l’on vit, permet de réduire considérablement sa consommation et donc… économiser pas mal d’argent. C’est d’ailleurs l’objet de mon incroyable défi zéro déchet (voir mon article mon défi fou zéro déchet : réaliser 3000€ d’économies par an).

zero dechet contenant reutilisable bouteille écologique

3. Réutiliser

La réutilisation est une étape clé du zéro déchet. Elle concerne la consommation responsable. En effet, Réutiliser va permettre d’éviter une consommation inutile, de préserver les ressources de la planète et d’allonger la durée de vie de nos biens.

Adopter les objets réutilisables

Pour faire ses courses on peut par exemple, remplacer ses sacs à usage unique par des cabats ou des contenants réutilisables. Pour ma part, je fais mes courses fruits, légumes et épicerie avec mes sacs en vrac, je mets la viande ou le poisson dans un tupperware, la crème et le fromage dans un bocal en verre ou un bocal consigné, les liquides comme l’huile dans une bouteille en verre, etc. Ensuite, concernant les objets jetables, on peut les remplacer par leur version réutilisable, comme l’oriculi pour remplacer les coton tiges, les serviettes en tissus pour remplacer l’essuie-tout…
En plus de cela, on privilégie les articles durables, rechargeables (comme les piles) et si possible réparables, par exemple on va préférer des chaussures en cuir que celles en matière synthétique.

Utiliser les circuits collaboratifs

On peut optimiser un objet qu’on n’utilise pas tous les jours en le prêtant ou en le louant, ce qui nous permettra de gagner de l’argent. Voici quelques sites utiles de location :

Pour préserver les ressources de la planète, on va aussi privilégier l’occasion au neuf et faire ses achats dans des friperies (Ding Fring, Vinted), Emmaüs, les vides-greniers et marchés aux puces, LeBoncoin, Ebay ou Amazon. Et pour tout ce qui est produit d’information (livres, DVD, CD), je vous conseille d’aller à la bibliothèque de votre ville. Je paye 15€/an pour un accès illimité aux ressources. C’est une véritable mine d’or qui me permet de m’instruire sur les différents domaines qui touchent le zéro déchet (manuel de cuisine, couture, jardinage, DIY, ect.) Grâce à cette astuce, je fais des économies de dingue !

Allonger la durée de vie de ses objets

Saviez-vous qu’on peut maintenant faire réparer un objet cassé ou manquant grâce à l’impression 3D ? Sinon, avec quelque bases de couture et de bricolage, on peut aussi les réparer soi-même. On peut aussi trouver plusieurs utilisations pour un même objet : un bocal en verre peut servir pour le vrac, en vase, en objet de déco ou en boîte cadeau, etc. Rapporter les objets qui peuvent être réutilisés, comme les cintres métalliques au pressing et récupérer les objets pour leur donner une seconde vie, comme les feuilles de papier imprimées sur une seule face qui peuvent faire office de brouillon, de liste à courses, etc.

bouteille plastique zero dechet recyclage

« Le recyclage est un cachet d’aspirine qui tenterait de soulager une gueule de bois collective plutôt sévère… la surconsommation. »

William Mc Donough, architecte et designer américain

4. Recycler

Tout ce qui n’a pas pu être Refusé, Réduit, Réutilisé ou Réparé, va donc être Recyclé. Le recyclage n’est pas une solution, car c’est un processus qui consomme de l’énergie (électricité, transport). De plus, il est source de pollution. Selon une étude de l’ADEME datant de 2020, seulement 42,8% des déchets plastique en France sont recyclés. Le reste fini incinéré, enfoui sous terre ou dans le nez d’une pauvre tortue !

Le recyclage est en soi un véritable casse-tête, d’une part nous, consommateurs, on ne sait pas forcément déchiffrer tous les logos présents sur les emballages et donc quoi jeter dans la poubelle jaune ou brune… D’autre part, les collectivités ont chacune leur politique de recyclage, elle diffère d’une commune à l’autre, ce qui complique encore plus le tri !

Néanmoins, quelques actions peuvent aider à y voir plus clair : aller visiter un centre de tri (se renseigner auprès de sa mairie). J’ai d’ailleurs adoré le faire, ça m’a vraiment permis de me rendre compte des tonnes de déchets qu’on génère. Et puis, de voir que la soit disant « lingette biodégradable » qu’on jette dans les WC finit quasiment intacte sur un gros tas d’ordures !

Ensuite, on évite d’acheter des objets non recyclables tels que le les verres en cristal, le Pyrex, les ampoules à incandescence, la céramique, ect. Sinon, on peut trouver des sites de collecte pour tous les matériaux qui ne sont pas acceptés lors du ramassage des recyclables, comme les huiles, la peinture, les piles, ect.

composteur nature et découverte biodégradable épluchures zéro déchet cuisine

« Si un objet ne peut pas être recyclé, composté ou réutilisé, l’industrie ne devrait pas le fabriquer »

Paul Connett, activiste du mouvement zéro déchet

5. Composter

Saviez-vous que les déchets organiques représentent un tiers de notre poubelle? Ceux-ci peuvent donc s’éliminer au composte et retourner à la terre au lieu d’être incinérés. Composter est donc une étape majeure et la dernière du mode de vie zéro déchet !

Le compostage est le recyclage des matières organiques, qui avec le temps, se décomposent et produisent des nutriments qui fertilisent le sol. Avec ceux-ci on nourrit les plantes d’agrément et son potager… C’est un cycle naturel et infini.

Il existe différents types de composts comme plusieurs types de composteurs. On le choisit en fonction de son habitation (ville ou à la campagne) et en fonction de ce qu’on veut en faire. Si on en n’a pas chez soi, faute de place ou d’envie, on peut toujours opter pour un composteur partagé dans son quartier (se renseigner auprès de sa mairie).

Mais avant de composter, on peut déjà réfléchir à comment valoriser ses déchets organiques tels que les épluchures, les coquilles d’oeuf, le marc de café, etc. Je vous partage un très bon livre qui m’a aidé à réduire mes déchets organiques en les valorisant en cuisine, en cosmétique ou au jardin : Les épluchures de Marie Cochard.

Presque prêt(e) pour l’aventure zéro déchet…

Avec les 5R, vous avez maintenant les bonnes bases pour vous lancer dans le style de vie zéro déchet

Mais ATTENDEZ, VOUS NE SAVEZ PAS TOUT ! En réalité il existerait un 6eme R, et pas des moindres. Il s’agit d’une étape clé pour accélérer et amplifier la démarche zéro déchet. Et bonne nouvelle, elle peut s’appliquer aussi bien en tant que débutant qu’expert zéro déchet…

Avez-vous une idée de ce que peut être le 6eme R ?

Partagez votre réponse en commentaire et vous dévoilerais dans un prochain article la 6eme règle d’or du zéro déchet 🙂

Partager l'article

18 commentaires

  • Nath nutri-momes

    Merci pour cet article très concret !

    Depuis quelques années, je me suis mise au zéro déchet ( couches lavables, bocaux en verre, …). J’ai supprimé pas mal de choses mais j’ai encore beaucoup de progrès à faire ! Pas facile avec 3 enfants !

    Au départ, la famille a eu du mal à accepter qu’on n’acceptait plus les « petits brols » pour nos enfants mais à force d’insister, ça va mieux 😉

    • Maman Zéro déchet

      Oui le plus dure c’est toujours vis à vis des proches… C’est déjà bien tout ce que tu a fait ! On n’arrête pas de progresser de toute façon

  • Paule Lebay

    Merci pour ces rappels. Perso ce que je trouve e plus difficile c’est de tenir dans la durée surtout lorsqu’on est loin de tout, qu’on est dans un petit village qui a bien du mal à se soucier réellement de l’impact écologique que nous pouvons avoir dans ce monde.

    • Maman Zéro déchet

      Le zéro déchet dans un petit village ça peut être compliqué en effet pour tout ce qui est épicerie (farine, riz, graines, ect.). Après pour les fruits légumes, viande, poisson y a toujours un marché de producteurs pas loin non?

  • Wendy

    Peut-être R comme… Refiler 😀 ? Blague à part, consommer en seconde main c’est super mais donner c’est super aussi. Je donne toujours les vêtements d’enfant par exemple qui sont en général en bon état. Moi, je trouve que l’étape la plus compliquée, c’est refuser. Par ce que ça engendre parfois de la frustration et on n’a pas toujours le temps d’expliquer toute la philosophie derrière.

    • Maman Zéro déchet

      Ahah on peut Refiler l’envie de s’mettre au zéro déchet, mais Revendiquer est plus approprié ! Je suis d’accord que l’étape Refuser est socialement la plus compliquée, mais à force de s’entraîner à Refuser, je pense que les proches auront compris la démarche lol

  • Aude

    Le livre de Bea Jonhson est en effet une mine d’or pour s’aventurer sur le chemin du zéro déchet. Le plus difficile c’est être consistant dans toutes ces démarches et de tenir dans la durée. Faire aussi accepter cela aux proches peut être difficile (dire non quand sa belle-mère veut nous donner quelques choses qui ne va nous servir à rien, mais ou la charge émotionnelle nous pousserait à dire oui, n’est pas des plus faciles. Un petit gout de culpabilité dans les deux cas 😉 ).
    Merci pour cet article qui nous rappelle les bases 🙂

    • Maman Zéro déchet

      Je suis ravie que tu te sentes pousser des ailes ! Ahh le composte, c’est tout un art… Avoir un composteur à la campagne c’est tellement plus pratique qu’en ville…

  • Bastienne

    Merci pour ton article bien complet! C’est mon (presque) mode de vie depuis 5 ans ! bon, après, c’est vraiment dur d’avoir ce mode de vie ne serait-ce que lorsqu’on achète une ampoule, elle se trouve dans du carton et plastique ! ou des matériaux de construction. Et combien de fois j’ai refusé des trucs gratuits (les gens me regardaient bizarre ensuite!), mais pourquoi accepter juste parce que c’est gratuit ? De plus, j’ai lâché du lest pour la couche jetable la nuit après une première expérience avec mon premier enfant en lavable jour et nuit…
    J’ajouterais pour les logements, qu’il existe HomeExchange (l’échange de maison pour ses vacances !) Bien à toi

  • Guillaume

    Aller visiter un centre de tri me parait une super idée, notamment pour sensibiliser les enfants. Je ne l’ai jamais fait et ton article m’a bien convaincu !
    Dans le même ordre d’idée, on peut aussi visiter une station d’épuration (ça je l’ai fait et je l’ai même animé), et cela permet aussi de voir toutes les lingettes quasi-intactes dans les grilles de filtration à l’entrée de la station. C’est un véritable cauchemar pour les exploitants !

    • Maman Zéro déchet

      Justement dans la même visite, nous avons eu la chance de pouvoir aussi visiter une station d’épuration ! On voyait un grand nombre de lingettes jetables dites « biodégradables » que les gens jettent dans les WC, mais le chemin entre est tellement court et rapide, qu’elles n’ont pas le temps de se désintégrer… Et du coup ça fait des gros tas d’ordures à traiter. Sans parler de toutes les molécules qui ne sont pas traitées par les stations d’épuration, qu’on retrouve dans les produits d’hygiène et d’entretien… Un cauchemar pour la faune, la flore et NOUS qui ré-ingérons une partie de ces molécules.

  • Martin

    Bonjour,
    Merci pour votre article et pour la découverte du 6ème R !
    Vous parlez du compostage en ville. Cela est effectivement possible même sans extérieur grâce à l’installation d’un lombricomposteur, sorte de boite où des vers se nourrissent des épluchures pour les transformer en engrais fertilisants. Son installation fera fondre votre poubelle dans laquelle, vous l’avez dit, un tiers des déchets sont des déchets organiques.
    Et aussi, vous abordez la problématique des lingettes « biodégradables ». Nous avons eu la mauvaise expérience des pastilles lave-vaisselle avec film « biodégradable » également, qui ne l’est pas du tout et qui a abimé notre appareil. Prudence donc avec ce terme qui nous déculpabilise de jeter…
    Bonne continuation,

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *